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Le bibliophile Heurtebise

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Anciennement librairie Heurtebise, "le bibliophile Heurtebise" propose des informations culturelles en relation avec les métiers du livre, mais aussi des descriptifs de curiosités bibliophiliques. Actualités littéraires, critiques, salons, foires aux livres...


Lady Chatterley, un livre sulfureux... et un film !

Publié par HEURTEBISE sur 30 Septembre 2014, 08:39am

Catégories : #Beaux livres

 

 

LAWRENCE (David – Herbert).

 

 

 


LAWRENCE (David – Herbert).

 

Lady Chatterley. (Première version traduite).

Editions Deux Rives. 1950. in 12 en feuille sous étui en suédine vieux rose. 341 pages. Impression F. Cahour. Avec les 18 compositions hors texte en couleurs et 18 sanguines par Edouard Chimot. Exemplaire numéroté du tirage sur papier Bfk : N° 482/1000. Bon état, intérieur frais.

 

LAWRENCE-CHATTERLEY.jpg


                         Ouvrage référencé HE 19284 à la Librairie Heurtebise.

 

 

LAWRENCE CHATTERLEY 2


Édouard Chimot, né à Lille le 26 novembre 1880, mort à Paris le 7 juin 1959, est un peintre, illustrateur, graveur et directeur artistique français.

Édouard Chimot est notamment connu pour son travail d'illustrateur et pour avoir dirigé la publication d'une trentaine d'ouvrages aux Éditions d'Art Devambez durant les années 1920 à Paris.

 

« Publié à Florence en 1928, le roman n’a pu être imprimé au Royaume-Uni qu'en 1960, longtemps après la mort de l’auteur (1930). D.H. Lawrence avait envisagé d’intituler son livre Tenderness (en français, Tendresse), et il a fait d’importants changements au manuscrit original afin de le rendre plus accessible aux lecteurs.

La publication du livre a provoqué un scandale en raison des scènes explicites de relations sexuelles, de son vocabulaire considéré comme grossier et du fait que les amants étaient un homme de la classe ouvrière et une aristocrate.

Lors de la première publication au Royaume-Uni en 1960, le procès des éditeurs, Penguin Books, sous le coup de la loi sur les publications obscènes (Obscene Publications Act) de 1959, fut un événement public et un test pour cette nouvelle loi qui venait d’être promulguée à l’initiative de Roy Jenkins. Cette loi permettait aux éditeurs de textes « obscènes » d’échapper à la condamnation s’ils pouvaient démontrer que l’œuvre en question avait une valeur littéraire. Dans le cas de ce roman, un des arguments de l’accusation était le fréquent usage du verbe fuck (en français, baiser ou fourrer) et de ses dérivés.

Divers critiques universitaires, y compris E. M. Forster, Helen Gardner et Raymond Williams, furent convoqués comme témoins, et le procès se termina sur un verdict d’acquittement. Le procès fit jurisprudence pour ouvrir la voie à une plus grande liberté d’expression dans le pays. »

Cf. Wikipédia

 

 

 

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